J'ai eu le sentiment qu'en siégeant dans cette salle, on dévalorisait le travail parlementaire. Les sujets traités en salle Médicis étaient d'importance, et les chevauchements des horaires de réunion compliquent encore un peu plus les choses. Nous avions protesté, à l'époque où la décision d'installer cette salle en configuration de petit hémicycle avait été prise, contre l'idée, alors retenue, de ne pas ouvrir ces séances au public. On est revenu dessus, mais cela reste un leurre : le nombre de places disponibles demeure très insuffisant. Je souhaite que, à l'unanimité, nous puissions demander à débattre sur tous les sujets importants comme auparavant, et non pas à la cave, comme ce fut le cas hier !