Quand l'hémicycle est libre, on doit l'occuper. Il est vrai que l'on a le sentiment, en salle Médicis, d'être en réunion de commission. La solennité du décor de l'hémicycle manque, d'où certains dérapages dans les propos...
Quant aux conditions matérielles, elles ne sont pas idéales : les deux gros micros placés sur la tribune de l'orateur sont gênants, surtout quand on a une mauvaise vue comme c'est mon cas. La salle Médicis doit rester une solution de dépannage et non pas devenir une alternative.