Je dois être en communion d'esprit avec Gérard César, car j'avais préparé les mêmes questions. Sur quoi butte le projet de réassurance publique ? Est-ce un problème de volonté ou de financement ?
La viande et les céréales ne sont jusqu'à présent pas concernés par la contractualisation. Or ces filières produisent des biens de consommation, soit directement, soit par le biais de transformations. A l'heure où l'on s'interroge sur le pouvoir d'achat et sur le prix des produits alimentaires, il faut y réfléchir. Les prix de la viande n'augmentent pas, mais ceux des intrants progressent dans des proportions qui seront bientôt insupportables !