a fait observer que la ministre déléguée à la cohésion sociale et à la parité n'étant pas présente, elle ne peut s'engager devant la commission. Remarquant que trop de lois étaient mal écrites et contenaient des dispositions réglementaires, elle a souhaité que le Parlement puisse pouvoir jouer son rôle d'évaluation, ce rapport pouvant être l'occasion pour le gouvernement de prendre position sur la question majeure du droit au congé parental.