a indiqué que, pour tirer les conséquences de ce constat, il était nécessaire de :
- mener une analyse des risques à l'échelle du « bassin de risques » dans chaque zone inondable ;
- repérer les modalités d'occupation des terrains (habitations, agriculture...) et les caractéristiques des ouvrages de protection, afin de vérifier l'adéquation entre les deux ;
- ne pas accroître la vulnérabilité des zones à risque, c'est-à-dire éviter d'urbaniser les zones encore vierges.