a également fait part de sa satisfaction à l'égard des résultats du Conseil européen de Lisbonne.
Il a considéré que ce nouveau traité marquait aussi le retour de la France en Europe, comme il l'avait d'ailleurs constaté lors de la récente réunion des présidents des commissions des affaires étrangères à Lisbonne.
Indiquant que la commission des affaires étrangères et de la défense avait reçu récemment une délégation de la commission homologue du Sénat tchèque, M. Jacques Blanc a fait état des éventuelles difficultés qui pourraient survenir concernant la procédure de ratification du nouveau traité en République tchèque, alors que ce pays est appelé à exercer la présidence de l'Union européenne au premier semestre 2009, soit juste après la présidence française.
Il a ensuite posé quatre questions au secrétaire d'Etat.
Premièrement, il a souhaité savoir si, à l'occasion de la discussion entre les chefs d'Etat et de gouvernement sur l'adaptation de l'Europe à la globalisation, la notion de préférence communautaire avait été évoquée.
Deuxièmement, il s'est interrogé sur l'articulation entre le projet d'Union méditerranéenne et la politique européenne de voisinage.
Troisièmement, il a interrogé le secrétaire d'Etat sur le calendrier et le mandat de mise en place du Comité des sages.
Enfin, M. Jacques Blanc a souhaité interroger le secrétaire d'Etat sur la politique européenne à l'égard des Balkans et, en particulier, du Kosovo.