Maïté Gabet, chef du bureau des affaires internationales à la direction générale des finances publiques (DGFiP) :
Je n'ai pas dit qu'elles l'étaient. Il faut que les vérificateurs parlent anglais, soient formés, se déplacent... Mais ce sont les modalités choisies pour faciliter le développement du marché unique et l'immatriculation des entreprises.