a estimé que pour lutter contre des hommes prêts à mourir pour Dieu, la répression seule était insuffisante, et qu'un travail spirituel de longue haleine était indispensable. Il a regretté que ce travail ne soit pas suffisamment effectué, notamment pour valoriser et diffuser une lecture pacifiée et moderne du Coran. Il a également souhaité un bilan de la lutte contre les flux financiers alimentant, entre autres, les écoles coraniques de certains pays.
Sur un plan plus général, il a déclaré que l'état du monde démontrait que les questions de sécurité ne relevaient plus du niveau national et qu'elles ne devraient plus échapper à la compétence de l'Union européenne au nom du principe de subsidiarité.