On a fait la même chose que lors de la première reprise de la dette sociale dans la loi de finances pour 1994, pour 120 milliards de francs. Lors de la renégociation de la convention avec l'ACOSS, nous avons donc acté le principe que la Caisse des dépôts n'était pas un puits sans fond. Avec 35 milliards d'euros en 2010, les concours de la CDC à l'ACOSS représentaient une part du bilan telle qu'ils devenaient un risque systémique pour la Caisse des dépôts.