s'est associée à l'idée selon laquelle on ne peut pas exonérer l'éducation nationale de sa responsabilité dans les défaillances de la formation initiale, tout en se demandant si ce ministère était en mesure de faire face à la multiplication de ses tâches et de ses responsabilités. Compte tenu de la complexité de l'appareil de formation professionnelle, elle s'est dite encline à apporter son soutien aux organismes publics, dont le rôle est essentiel pour préserver l'équilibre territorial des formations et dans la lutte contre les inégalités.
A propos d'une éventuelle généralisation des écoles de la deuxième chance, Mme Annie David s'est inquiétée des risques de disparité dans leur implantation au cas où les décisions relèveraient uniquement des régions.