a précisé que le delta entre les recettes et les dépenses sera pris en charge par les collectivités territoriales. Il a regretté que l'EPAD n'ait pas été suffisamment attentif aux revenus que pourrait produire son patrimoine, notamment ses sous-sols qui sont des espaces « morts » qu'il conviendrait de mieux valoriser. Il a fait observer également que le conseil régional d'Ile-de-France et la chambre de commerce ne contribuent pas au budget de l'EPGD alors qu'ils perçoivent respectivement 40 millions et 10 millions d'euros de recettes fiscales sur le site de la Défense. Il a enfin noté que le département des Hauts-de-Seine dispose d'un montant de recettes fiscales inférieur à celui de la Seine-Saint-Denis ou encore de Paris.