a précisé que les comptes sont contrôlés par l'Etat et par la Cour des comptes, mais que l'établissement a décidé le lancement d'une étude sur l'utilité de faire certifier ses comptes comme une entreprise privée. Il a noté la très grande difficulté d'un suivi des plus-values latentes. Les recettes attendues inscrites dans les comptes de l'EPAD correspondent à deux affaires en cours : la salle des marchés de la Société générale et l'immeuble « Prétorium ». Par ailleurs, Suez doit s'implanter dans quatre tours et le coefficient d'occupation du quartier de la Défense atteint 97 %, la demande demeurant très forte. Il a souligné que l'EPAD n'a aucune dette et que le tableau des prévisions à dix ans du solde des opérations en cours, actuellement en déficit de 172 millions d'euros, sera équilibré pour la fin décembre.