C'est vrai.
Quant au bilan qualitatif, je souligne une difficulté que l'on rencontre avec tous les produits fiscaux portant sur le logement : ils sont des investissements financiers avant d'être des investissements immobiliers. La niche fiscale attire plus que l'investissement en logement. C'est ainsi que les médias en sont venus à dénoncer « les Robien de la colère » : on a construit de nombreux logements dans des zones où l'on n'en avait nul besoin, les investisseurs n'ont pas trouvé de locataires et, sans loyer perçu, ils n'ont pu bénéficier de la déduction fiscale ; certains ont été ruinés.