a souhaité savoir quelle était la position de la Commission à l'égard de la notion nouvelle de « capacité d'intégration », introduite par le Parlement européen, en juillet 2008. Elle a indiqué que la Turquie ressentait une grande déception et qu'en dépit de prises de responsabilité très positives dans son environnement régional et de l'effet stabilisateur de la perspective d'adhésion à l'Union européenne, le déroulement des négociations était perçu comme démobilisateur. Elle s'est interrogée sur la façon d'entretenir la motivation de ce pays à faire les réformes nécessaires.