Cet article reprend un texte rédigé par M. Jean-François Vilotte, président de l'ARJEL, qui voulait créer un délit pour les corrupteurs, comme pour le dopage, mais également pour le corrompu, ce qui diffère de notre pratique dans le dopage. Le ministère de la justice estime que la rédaction de cet amendement pose quelques problèmes, même s'il y est favorable sur le principe. Il est également favorable à l'amendement suivant relatif à l'obligation de signalement d'un soupçon de corruption. Le ministère proposera, avant la séance publique, d'en améliorer la rédaction.