Concernant la préparation à la sortie, Mme Marguerite Nass a indiqué que, à Metz, seuls deux foyers sur dix accueillaient des personnes sortant de prison, avec un nombre de places limité, et que ces difficultés d'hébergement ne facilitaient ni le suivi de ces femmes, ni la refondation de leur nouvelle vie.
Enfin, après avoir rappelé qu'il n'y avait en France que trois centres de détention pour femmes, elle a indiqué que les femmes attendaient souvent entre douze et dix-huit mois en maison d'arrêt avant d'obtenir une place en centre de détention.
Un débat s'est ensuite engagé.