après avoir rappelé que l'Office parlementaire d'évaluation des choix scientifiques et technologiques (OPECST) s'était récemment penché sur la question des nanotechnologies, a relevé que cette évolution technologique était irréversible et qu'il convenait d'en encadrer les usages. Il a considéré pour sa part que les nanotechnologies représentaient un problème moins important que le passage des nanoparticules à travers la barrière hémato-encéphalique. Concernant les « centrales positives de crédit », il a insisté sur la nécessité que tous les acteurs de ce dossier s'impliquent réellement. Enfin, il a demandé des compléments d'information sur le transfert de données personnelles à caractère médical à destination de pays africains.