Les assurés demandent une simulation de leur retraite à quarante-cinq ans. Or, on ne sait ce que réserve leur carrière future. Lors des auditions, les régimes nous ont dit leur crainte d'être exposés à des contentieux, car le problème est complexe et le personnel pas encore formé. Il faut les protéger si l'on ne veut pas que l'information soit parcimonieuse. L'Allemagne et la Suède proposent certes un relevé individuel plus précis mais on y compte moins de régimes que chez nous. Il faut un système adapté à la France pour assurer la meilleure information possible.