Rien n'est donc prévu pour ceux qui auraient pu avoir droit à l'avenir à l'AER. Le Premier ministre a d'ailleurs demandé aux partenaires sociaux de contribuer au financement de la prise en charge des personnes dont l'âge est compris entre soixante et soixante-deux ans et qui, si elles n'ont droit ni aux allocations chômage, ni à l'AER, ni au RSA, se retrouveront sans ressources.