a comparé la situation de l'individu autiste à celle d'un étranger qui se rendrait dans un pays dont il ne comprendrait ni la langue ni les usages et codes sociaux. L'entrée en communication avec l'enfant suppose donc une meilleure connaissance de son univers et une attention toute particulière aux éléments qui conduiront au diagnostic de la maladie. Il a plaidé en faveur d'une mobilisation plus active des méthodes et outils utilisés à l'étranger afin de progresser dans le diagnostic et dans la prise en charge.