a indiqué que, sur les recommandations du Conseil de la concurrence, la capacité d'achat d'électricité du consortium avait été limitée à la moitié des besoins exprimés par les industriels, soit 20 terawatts. Il a estimé que le risque de courtage était ainsi limité, la « série des droits de préemption en cascade » prévus par la loi étant également de nature à prévenir la formation d'une cartellisation de l'offre d'électricité.