a indiqué que, dans le cadre de ses auditions sur la proposition de loi tendant à assurer une plus grande équité dans la politique nationale de sécurité routière, notamment en matière de retrait des points du permis de conduire, la question de la quasi-impunité des conducteurs de voitures immatriculées à l'étranger avait été fréquemment évoquée. Elle a ajouté que cela avait des effets dévastateurs en donnant le sentiment qu'il existait « deux poids, deux mesures » alors même que le système français est très répressif.
Enfin, elle a indiqué que les accords bilatéraux apportaient des réponses efficaces, notamment avec la Suisse.