Soulignant combien le maintien du pastoralisme était important pour le développement du tourisme dans les zones rurales et de montagne, M. Michel Bécot a interrogé les rapporteurs sur les écarts de prix entre les moutons français et néo-zélandais et a qualifié d'incohérente la politique consistant à financer d'un côté la réintroduction d'espèces sauvages dans certaines zones du territoire et de l'autre les dégâts qu'elle provoque sur les troupeaux d'élevage.