A M. Pierre Martin qui l'interrogeait sur les risques de fraude possibles, M. Jean-François Vilotte a répondu que le risque était réel dans la mesure où contrairement au dopage où l'objectif est de gagner, la corruption liée aux jeux d'argent en matière sportive s'appuie sur la défaite, plus aisée à obtenir. Il est donc important qu'un dialogue se mette en place après l'adoption du projet de loi entre la future autorité de régulation et le mouvement sportif, et que ce dernier prenne également des mesures pour interdire le pari à un certain nombre de personnalités liées aux organisations de compétition.