Merci, Monsieur le Directeur général, d'être venu jusqu'à nous. Vous avez vu que le SNIT n'est pas la moindre des préoccupations des sénateurs. La seule chose que nous puissions vraiment souhaiter, c'est que ce qui est prévu puisse trouver une réalisation dans les vingt ou trente ans qui viennent, même si nous n'en sommes pas à la programmation. Encore une fois, si les chiffres paraissent impressionnants, une fois divisés par trente, puis par trois, la participation de l'Etat n'a rien de colossal.