a indiqué que, celle-ci étant à présent terminée, il revenait au Gouvernement et au Parlement de se prononcer. Rappelant que le capital d'une partie des centrales nucléaires n'appartenait pas totalement à EDF, et que des producteurs concurrents de l'entreprise publique avaient un droit d'accès à l'électricité produite par ces centrales à leur coût de production, il a estimé que ce système ne constituait pas une méthode de régulation pérenne. Une solution durable serait soit que l'Etat intime à EDF d'ouvrir plus largement le capital de ses centrales, sous certaines conditions, soit qu'EDF le fasse de sa propre initiative, compte tenu des incitations qui l'y pousseront, ainsi que le préconise le rapport.