a indiqué qu'il partageait, pour l'essentiel, les préoccupations exprimées par les sénateurs. Il a souligné la nécessité d'améliorer la qualité des prestations des avocats ainsi que la formation de cette profession. Il a notamment appelé de ses voeux le développement du travail en équipe. Il a constaté que l'enseignement dispensé aujourd'hui par les universités n'était pas adapté à la formation d'un juriste moderne. Il a également noté que la défiance manifestée par les avocats à l'encontre de tout numerus clausus était sans doute liée au sentiment, pourtant démenti par l'observation des faits, que la force de la profession dépendait de l'importance de son effectif.