a estimé que les évolutions actuelles dans le domaine de la numérisation du patrimoine culturel étaient fortement dépendantes de la position dominante d'un acteur mondial sur le plan de la technicité, et qui bénéficiait par ailleurs de moyens financiers considérables.
Constatant le retard pris dans ce domaine par la France, il a souhaité savoir si le grand emprunt était de nature à renforcer sa position dans le cadre de futures négociations avec un partenaire privé.
Enfin, en tant que membre du conseil d'administration de l'Institut national de l'audiovisuel, il a salué le tournant exemplaire pris par cette institution dans la numérisation et la commercialisation de son fonds patrimonial.