a précisé que le travail de numérisation réalisé par les éditeurs était conduit avec l'aide financière du Centre national du Livre, mais qu'ils devaient en assumer 40 % du coût.
Il a plaidé pour la recherche d'une solution dans un cadre européen, arguant des différentes initiatives qui se développent dans plusieurs pays de l'Union européenne.
Tout en se déclarant favorable au principe du grand emprunt pour le développement du numérique, il s'est interrogé sur les délais d'obtention des crédits et les conditions de son remboursement.
Il a fait observer que la conservation des livres numérisés sur des supports techniques était une opération plus complexe que la conservation des ouvrages imprimés, tout en reconnaissant que le processus de numérisation des éléments du patrimoine culturel s'inscrivait dans le sens de l'histoire.