En réponse, Mme Christine Lagarde a jugé que la compétitivité des entreprises serait renforcée par la réforme du crédit d'impôt recherche. Elle a déclaré que la commission serait associée à la réflexion sur les « niches » fiscales. Elle a affirmé ne jamais avoir soutenu la thèse d'un « découplage » entre la croissance de la zone euro et celle des Etats-Unis, et jugé nécessaire de s'interroger sur la rémunération des dirigeants et sa fiscalité.