a ensuite fait part de ses préoccupations. Il s'est tout d'abord étonné d'un besoin de réforme significatif d'un organisme relativement nouveau. Il a cité, en exemple, la Suède, qui dispose d'un organisme équivalent à l'AFII composé uniquement de membres issus du secteur privé, alors que notre système fonctionne avec des personnels issus de la fonction publique.
Il s'est ensuite demandé, au vu des atouts et des faiblesses reconnus de la France, ce qui pouvait déterminer le choix de notre pays pour les entreprises étrangères. Il a enfin souhaité connaître l'effectif de l'AFII et le mode de recrutement de son personnel.