s'est montré très favorable au projet présenté, en raison de son ambition et des conséquences positives qu'il aura dans le renforcement et la modernisation, notamment économique, du territoire. Ce projet renforcera également les élus en agrandissant leur territoire d'élection.
En revanche, il a regretté que la ville de Paris, trente-cinq ans après que le président Giscard d'Estaing en a fait une commune à part entière, dans un geste prolongé pour Lyon et Marseille par le président François Mitterrand, ne soit pas concernée par la réforme. Or, il est important, selon lui, que les citoyens parisiens bénéficient des mêmes avantages que ceux des autres territoires.