s'est interrogé sur le système d'orientation actuel en France. Il a plaidé pour la fin du principe d'orientation par l'échec. Justifiant les dispositifs d'égalité des chances mis en place ces dernières années, il a souligné les aspirations des familles qui les conduisent à opter majoritairement pour des formations sélectives à l'issue du baccalauréat, encouragées dans cette voie par les enseignants eux-mêmes. Il a jugé essentiel d'aider tous les élèves qui en sont capables à intégrer une grande école ou une formation sélective.