a demandé comment l'éducation nationale prenait en compte le problème spécifique de l'enseignement du français comme langue étrangère pour les élèves dont le français n'est pas la langue maternelle.
Il a ensuite estimé que le métier d'enseignant devenait de plus en plus complexe car à la transmission des connaissances venait s'ajouter l'exigence de compétences en matière d'aide personnalisée, d'accompagnement éducatif et d'orientation scolaire. Au moment où l'éducation nationale fait un effort tout particulier pour redéfinir le métier d'enseignant, il est contradictoire de diminuer la qualité et le temps de leur formation professionnelle.