a souhaité tempérer l'optimisme du directeur général de l'enseignement scolaire en évoquant les suppressions massives d'emplois dans le cadre de la révision générale des politiques publiques (RGPP) mais aussi la réduction de la formation des enseignants via la « mastérisation ». Elle a ensuite demandé un premier bilan de la mise en place du baccalauréat professionnel en trois ans et des précisions sur l'enseignement des sciences économiques et sociales (SES) et de l'éco-gestion dans le cadre de la réforme du lycée. Enfin, elle a évoqué la volonté du ministère de faire effectuer une partie des remplacements des enseignants absents par des retraités et des étudiants, soulignant l'engagement de réformes de façon disparate.