A l'issue de cette présentation, M. Jean-Paul Emorine, président, a souligné qu'il était effectivement très utile que la commission ait une bonne connaissance des participations financières publiques tant l'Etat se trouvait parfois présent dans le capital d'entreprises très éloignées de missions d'intérêt général, comme par exemple Renault.
Il a précisé que le suivi de ces participations consistait aussi, par exemple, pour la commission, à s'intéresser à certaines entreprises en particulier, comme le groupe Areva, dont la présidente devrait être prochainement auditionnée.
Il a enfin estimé qu'il était nécessaire de bien distinguer les privatisations et les simples ouvertures de capital, qui sont trop souvent confondues, notamment par la presse.