a souscrit à ce propos. Puis il a indiqué que la possession d'un diplôme constituait une garantie pour consolider la situation des jeunes qui ont déjà accédé à l'emploi ; à cet égard, il a insisté sur le fait que, seuls, 20 % des jeunes pris en charge par les missions locales avaient eu accès à une formation en 2006.
Enfin, interrogé par M. Jean-Claude Carle, président, sur la valeur et la justification actuelle du diplôme de brevet d'études professionnelles, M. Jean-Raymond Lépinay a répondu qu'il lui semblait surtout important de pouvoir matérialiser les qualifications des jeunes par un titre.