a réaffirmé que le MIC est un argument pour peser sur la négociation et a souligné que les entreprises françaises et européennes préféreraient ne pas voir renaître ce type de barrière qui, quel que soit son bien-fondé, sera lourd à gérer et compliquera nécessairement les échanges. La meilleure solution serait de parvenir à un accord à Copenhague qui prive d'objet ce mécanisme.