a insisté sur la place, non seulement du secteur forestier, mais plus largement de l'agriculture en matière de réduction des émissions : 40 % des rejets de gaz à effet de serre proviennent en effet des activités agricoles et des forêts ; cet enjeu doit donc être présent dans les négociations sur le climat de Copenhague ; il a indiqué par ailleurs que cet enjeu ne peut être traité indépendamment d'une réflexion d'ensemble sur les modes de vie : l'activité agricole la plus émettrice, l'élevage, est en effet inséparable d'un modèle culturel alimentaire qui privilégie la consommation carnée.