Puis, à M. Bruno Sido, président, qui s'interrogeait sur la pertinence, en termes de sécurité d'approvisionnement, du passage du courant alternatif en courant continu aux interconnexions, malgré le coût que cela impliquerait, M. Bertrand Barré, après avoir observé qu'AREVA n'avait en ce domaine aucun pouvoir de décision, a convenu que cette rupture de chaîne semblait efficace et méritait d'être envisagée, mais qu'un tel changement nécessiterait des investissements considérables pour moduler et démoduler le courant.