a quant à lui évoqué la question de l'échelon le plus pertinent pour gérer l'équilibre entre l'offre et la demande - le niveau européen ou le niveau régional, voire national - selon qu'on mettait en exergue soit l'intérêt pouvant être trouvé, grâce aux échanges d'électricité, à tirer profit des différences entre les mix énergétiques des pays interconnectés, soit les risques d'instabilité des réseaux résultant de leur surcharge, la panne du 4 novembre 2006 ayant démontré que plus le réseau électrique était chargé, plus il était sensible aux aléas.