s'est rallié à ces propos. Il a ajouté que l'absorption des risques pris par les banques d'investissement pourrait conduire à une minimisation des prises de risques des banques de détail. Un rationnement du crédit, de fait, était probable. En outre, il a envisagé l'année 2009 comme une année de restructuration bancaire importante.
Réagissant à la seconde question formulée par M. Philippe Marini, il a reconnu que les banques centrales avaient pris des risques lourds afin d'encourager le redémarrage économique. Il a estimé que l'enjeu justifiait cette prise de risque.
Par ailleurs, il a abondé dans le sens des remarques de M. Philippe Marini concernant les fonds « souverains ».