a approuvé cette proposition. Il a rappelé que la prise charge psychiatrique constitue un enjeu de société majeur et que la France est en retard dans ce domaine, en particulier pour ce qui concerne la définition de référentiels.
L'étude de l'Opeps améliorera le niveau d'information des parlementaires sur ces questions dans l'optique d'un prochain projet de loi. Il a rappelé, à cet égard, qu'ils s'étaient émus, lors de la discussion du projet de loi relatif à la prévention de la délinquance en septembre dernier, du sort réservé aux malades mentaux dans les prisons - ils représenteraient 13 % des détenus - et de la façon de traiter les malades dangereux.
L'étude devrait, à son sens, proposer ainsi des solutions au manque de psychiatres dans les hôpitaux et aux difficultés de l'exercice libéral de la psychiatrie.