a fait observer que, dans les cas de responsabilité indirecte, la « loi Fauchon » posait indéniablement la nécessité d'une faute plus grave et qu'elle s'appliquait logiquement à d'autres justiciables que les élus. Il a estimé que cette loi constituait un compromis entre la volonté de ne pas pénaliser à l'excès la vie sociale et l'exercice des responsabilités publiques, et indiqué que, par conséquent, le ministère de la justice n'envisageait pas, pour le moment, de la modifier.