Rappelant qu'il recommandait à l'Opeps de ne pas prendre de position sur l'opportunité d'un dépistage systématique du cancer de la prostate, M. Claude Le Pen, a confirmé qu'il s'agit, selon lui, d'évaluer les pratiques de dépistage individuel et le traitement du cancer de la prostate, pour améliorer les conditions de ce dépistage et éventuellement préparer la mise en oeuvre d'un dispositif de dépistage systématique, si l'intérêt de ce dernier est validé par les études épidémiologiques.
Le président Jean-Michel Dubernard, député, ayant estimé, en conséquence, que l'étude de faisabilité justifie l'engagement d'une étude sur le dépistage et le traitement du cancer de la prostate, l'Opeps a décidé de confirmer ce sujet pour la prochaine étude de l'Assemblée nationale.