a considéré que toute éventuelle avancée au sommet de Pittsburgh dans ce domaine serait liée à cette initiative nationale, qui représente déjà une prise de risque significative pour les banques françaises. Il a ajouté que, s'il est possible d'établir les résultats d'un métier sur le plan comptable, les banques n'ont pas aujourd'hui les moyens de suivre sur trois ans les opérations individuelles de chaque opérateur de marché (trader). La limitation de la prise excessive de risque, par le système du paiement différé, et l'alignement des intérêts des opérateurs de marché et de l'entreprise constituent en revanche un changement fondamental.