a considéré que l'obligation de soumettre les bonus au comité de rémunération existait déjà avant février 2009 et s'est, dès lors, demandé dans quelle mesure elle n'a pas été respectée. Elle a estimé que seuls les opérateurs de marché eux-mêmes sont en mesure de calculer la valeur des actifs complexes qui contribuent au résultat des banques. Elle s'est félicitée de la normalisation de la situation des banques françaises, tout en se demandant où sont aujourd'hui concentrés les importants volumes d'actifs risqués dans le monde, considérant notamment le délai nécessaire au dénouement de certains CDS. Enfin, elle a sollicité l'analyse de la FBF sur le décalage élevé entre l'aggravation constatée du chômage et l'amélioration des conditions de financement des PME.