s'est déclaré en accord avec les interventions de M. Claude Belot et de Mme Nicole Bonnefoy, et a fait part de ses inquiétudes sur la reprise d'anciennes habitudes un an après le déclenchement de la crise, les engagements pris lors du sommet du G 20 à Londres semblant aujourd'hui plus « évanescents ». Il a demandé confirmation de l'information selon laquelle les banques françaises ont effectivement nettoyé leurs bilans des créances douteuses, et si ce travail a également été réalisé en Allemagne, où deux structures de défaisance ont été créées, comme au Royaume-Uni.