a souligné la qualité des comptes certifiés des grandes entreprises françaises cotées, qui ne sont en aucune façon présentés pour favoriser les titulaires d'options d'achat d'actions. Il a développé l'exemple de BNP Paribas, dont 4 000 salariés bénéficient de ces titres, et a précisé que les programmes d'émission de ces dernières années ont à présent une valeur nulle. Concernant la standardisation et la compensation des CDS, il a reconnu qu'il est souhaitable de disposer d'une chambre de compensation européenne, bien qu'une telle initiative n'ait pas encore abouti. En réponse à M. Jean Arthuis, président, il a indiqué que cette structure pourrait être située dans la zone euro.