ne s'est guère montrée enthousiaste sur l'idée du « ticket paritaire », considérant que les femmes risquaient d'être cantonnées à la fonction de suppléant et qu'il était préférable, selon elle, qu'elles aillent directement à la recherche des suffrages. Elle a néanmoins nuancé ses propos en faisant observer que le conseiller général, notamment en zone rurale, était « très seul » dans l'exercice de son mandat et qu'il pourrait être intéressant de le doter d'un suppléant. Elle s'est donc interrogée sur la possibilité d'une expérimentation du « ticket paritaire ».
Par ailleurs, elle s'est dite défavorable à l'idée d'un « bonus » financier, rappelant que la norme de la représentation politique des femmes devait être la parité, et non un seuil minimum.